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On ira
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Film français d'Enya Baroux avec Hélène Vincent, Pierre Lottin, David Ayala.
Durée : 1h37
Durée : 1h37
Synopsis :
Marie, 80 ans, en a ras le bol de sa maladie. Elle a un plan : partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Mais au moment de l’annoncer à Bruno, son fils irresponsable, et Anna sa petite-fille en crise d’ado, elle panique et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque suisse, elle leur propose de faire un voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un auxiliaire de vie tout juste rencontré la veille, va prendre le volant du vieux camping car familial, et conduire cette famille dans un voyage inattendu.
Marie, 80 ans, en a ras le bol de sa maladie. Elle a un plan : partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Mais au moment de l’annoncer à Bruno, son fils irresponsable, et Anna sa petite-fille en crise d’ado, elle panique et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque suisse, elle leur propose de faire un voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un auxiliaire de vie tout juste rencontré la veille, va prendre le volant du vieux camping car familial, et conduire cette famille dans un voyage inattendu.
Critiques :
L’influence - revendiquée et pleinement assumée de Little Miss Sunshine - plane sur ce road movie à l’écriture finement ciselée.. L’équilibre entre rires et larmes ne paraît ici jamais artificiel ou forcé.
L’influence - revendiquée et pleinement assumée de Little Miss Sunshine - plane sur ce road movie à l’écriture finement ciselée.. L’équilibre entre rires et larmes ne paraît ici jamais artificiel ou forcé.
Parthenope (vo)
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Version : VOST
Film italien de Paolo Sorrentino avec Celeste Dalla Porta.
Durée : 2h17
Festival de Cannes 2024
Durée : 2h17
Festival de Cannes 2024
Synopsis :
La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue.
Autour de Parthénope, les napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement.
La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal.
La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue.
Autour de Parthénope, les napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement.
La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal.
Critiques :
Le cinéaste italien Paolo Sorrentino, inspiré par une figure de la mythologie grecque, dresse le portrait d'une héroïne à la beauté renversante et honore Naples, sa ville natale. Une réussite.
Parthenope peut déconcerter au premier abord, semblant aborder l'incroyable beauté de son personnage principal via une fétichisation de son actrice (Celeste Dalla Porta), mais d'entrée de jeu le réalisateur italien filme sa sirène par un prisme de récit antique, tel un conte initiatique !
Dès lors, le long-métrage prendra des allures de récit piccaresque où une femme déifiée par le regard des hommes entreprend un chemin de vie en corrélation avec ses études d'anthropologie. Premiers amours, confrontation à la vieillesse, à la religion, l'érudition..
Sorrentino trouve toujours une approche sensuelle et sensorielle pour aborder ces tranches de vie, portées par une photographie solaire absolument saisissante, et un regard entre le surréalisme et le naturalisme napolitain.
Bref une très bonne expérience !
Le cinéaste italien Paolo Sorrentino, inspiré par une figure de la mythologie grecque, dresse le portrait d'une héroïne à la beauté renversante et honore Naples, sa ville natale. Une réussite.
Parthenope peut déconcerter au premier abord, semblant aborder l'incroyable beauté de son personnage principal via une fétichisation de son actrice (Celeste Dalla Porta), mais d'entrée de jeu le réalisateur italien filme sa sirène par un prisme de récit antique, tel un conte initiatique !
Dès lors, le long-métrage prendra des allures de récit piccaresque où une femme déifiée par le regard des hommes entreprend un chemin de vie en corrélation avec ses études d'anthropologie. Premiers amours, confrontation à la vieillesse, à la religion, l'érudition..
Sorrentino trouve toujours une approche sensuelle et sensorielle pour aborder ces tranches de vie, portées par une photographie solaire absolument saisissante, et un regard entre le surréalisme et le naturalisme napolitain.
Bref une très bonne expérience !