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L’Intérêt d’Adam
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Film français de Laura Wandel avec Léa Drucker, Anamaria Vartolomei, Jules Delsart
Durée : 1h18
Durée : 1h18
Synopsis :
Face à la détresse d’une jeune mère et son fils, une infirmière décide de tout mettre en œuvre pour les aider, quitte à défier sa hiérarchie.
Face à la détresse d’une jeune mère et son fils, une infirmière décide de tout mettre en œuvre pour les aider, quitte à défier sa hiérarchie.
Critiques :
Le cinéma social (belge) a trouvé sa relève de haut niveau avec Laura Wandel et L’intérêt d’Adam, plongée intense, poignante et immersive, en quasi-temps réel, au cœur d’un système hospitalier en perdition.
Le cinéma social (belge) a trouvé sa relève de haut niveau avec Laura Wandel et L’intérêt d’Adam, plongée intense, poignante et immersive, en quasi-temps réel, au cœur d’un système hospitalier en perdition.
Une bataille après l'autre (vf)
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Version : VF
Film américain de Paul Thomas Anderson avec Leonardo DiCaprio, Benicio Del Toro, Teyana Taylor
Durée : 1h42
Durée : 1h42
Synopsis :
Ancien révolutionnaire désabusé et paranoïaque, Bob vit en marge de la société, avec sa fille Willa , indépendante et pleine de ressources. Quand son ennemi juré refait surface après 16 ans et que Willa disparaît, Bob remue ciel et terre pour la retrouver, affrontant pour la première fois les conséquences de son passé…
Ancien révolutionnaire désabusé et paranoïaque, Bob vit en marge de la société, avec sa fille Willa , indépendante et pleine de ressources. Quand son ennemi juré refait surface après 16 ans et que Willa disparaît, Bob remue ciel et terre pour la retrouver, affrontant pour la première fois les conséquences de son passé…
Critiques :
Le réalisateur surdoué Paul Thomas Anderson évoque le chaos idéologique mortifère qui ronge l’Amérique d’aujourd’hui à travers une poursuite ébouriffante, loufoque et virtuose. Immanquable.
Le réalisateur surdoué Paul Thomas Anderson évoque le chaos idéologique mortifère qui ronge l’Amérique d’aujourd’hui à travers une poursuite ébouriffante, loufoque et virtuose. Immanquable.
Happyend (vo)
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Version : VOST
Film japonais de Neo Sora
Durée : 1h53
Durée : 1h53
Synopsis :
Tokyo, dans un futur proche où plane la menace constante d'un séisme ravageur. Yuta et Kou, deux amis inséparables s’amusent à perturber l’ordre établi de leur lycée. Après un mauvais coup de trop, la direction du lycée déclenche des représailles et met l'établissement sous le contrôle d’une IA de surveillance. Dans un climat de suspicion généralisé, la relation entre les deux amis est mise à l'épreuve : l’un choisit l’indifférence, l’autre la révolte...
Tokyo, dans un futur proche où plane la menace constante d'un séisme ravageur. Yuta et Kou, deux amis inséparables s’amusent à perturber l’ordre établi de leur lycée. Après un mauvais coup de trop, la direction du lycée déclenche des représailles et met l'établissement sous le contrôle d’une IA de surveillance. Dans un climat de suspicion généralisé, la relation entre les deux amis est mise à l'épreuve : l’un choisit l’indifférence, l’autre la révolte...
Critiques :
Entre dystopie et chronique adolescente, le film explore la peur collective et l’énergie révolutionnaire de la jeunesse japonaise.
Le film à été tourné en partie dans la ville de Kobe ( victime d’un terrible tremblement de terre en 1995 ) dû à la difficulté d’obtenir des autorisations à Tokyo. Mais c’est avec l’aide du chef opérateur Bill Kirstein ( avec qui il avait déjà collaboré sur The Chicken et Opus ), que Sora dévoile un Tokyo en demi-teinte, où se confondent ombres et lumières, cadrages à distance où les conflits se devinent plus qu’ils ne se disent : chaque plan respire l’instabilité. « Les deux amis sont comme des plaques tectoniques qui se déplacent et tremblent », souligne le réalisateur
La bande son, signée en partie par la compositrice et artiste Lia Ouyang Rusli, brouille les pistes : techno futuriste, musique classique, et même une chanson contestataire des années 60 interdite au Japon à sa sortie. Résultat : un univers sonore où la rage et la nostalgie se percutent avec brio.
Entre dystopie et chronique adolescente, le film explore la peur collective et l’énergie révolutionnaire de la jeunesse japonaise.
Le film à été tourné en partie dans la ville de Kobe ( victime d’un terrible tremblement de terre en 1995 ) dû à la difficulté d’obtenir des autorisations à Tokyo. Mais c’est avec l’aide du chef opérateur Bill Kirstein ( avec qui il avait déjà collaboré sur The Chicken et Opus ), que Sora dévoile un Tokyo en demi-teinte, où se confondent ombres et lumières, cadrages à distance où les conflits se devinent plus qu’ils ne se disent : chaque plan respire l’instabilité. « Les deux amis sont comme des plaques tectoniques qui se déplacent et tremblent », souligne le réalisateur
La bande son, signée en partie par la compositrice et artiste Lia Ouyang Rusli, brouille les pistes : techno futuriste, musique classique, et même une chanson contestataire des années 60 interdite au Japon à sa sortie. Résultat : un univers sonore où la rage et la nostalgie se percutent avec brio.